Comment payer ses dettes d’une manière chaleureuse !

imag2AUn type arrive chez son meilleur pote, c’est sa femme qui lui ouvre.
– Hé, il est pas là, Marcel ? Faut que je le voie !
– Ah non il est parti faire une course, il ne va pas être long.
– Je peux l’attendre ?
– Sûr ! Entre et assis-toi ! Je t’ammène à boire.
Comme elle revenait avec deux b!ères, le copain lui dit :
– Tu sais, Betty, t’as vraiment les plus beaux se!ns de la terre, je paierais bien 250 balles pour en voir un !
Betty y réfléchit une seconde et se dit que puisque son mari les voit tous les jours gratuitement, il n’y a pas de raison que son copain n’en profite pas non plus. Elle ouvre donc son corsage et sort un se!n pour le montrer.
– Ce qu’il est beau ! C’est dommage de n’en voir qu’un… Tiens je te file encore 250 balles et tu me montres les deux !
Au point où elle en était, Betty se dénude complètement la po!tr!ne.
Le copain la remercie chaleureusement et dépose un billet de 500 euros sur la table et s’en va.
Un peu plus tard, le mari revient, sa femme lui dit que son copain était passé.
– Ah, répondit le mari, il t’as laissé les 500 balles qu’il me devait ?

T0T0 ET SON PAPA passent devant une maison bizarre !

ZSW1Toto se promène dans la rue avec son papa. Ils passent devant une maison bizarre, avec des fenêtres aux tentures fermées, des néons dans l’entrée, etc.
– Papa, c’est quoi la maison, là ? Hein papa, c’est quoi ?
Le papa, ennuyé :
– Ce n’est rien, ce n’est pas pour les petits garçons sages. Tu sauras plus tard ce que c’est. Viens, on continue la promenade.

Revenu à la maison, Toto ne peut résister à la curiosité. Profitant d’un manque d’attention de son papa, il prend un billet de 200 euros dans le portefeuille familial et sort discrètement. Quelques minutes plus tard, il est dans le hall de la grande maison avec des tentures et des néons colorés. Une dame en petite tenue se tient derrière un comptoir.
– Bonjour Madame, excusez-moi de vous déranger : Voici 200 euros, et j’en voudrais pour mon argent !

La dame, ennuyée, demande à Toto de patienter quelques instants. Elle se rend dans une pièce à l’arrière où se trouve le « patron ».
– Dis, Giuseppe, il y a un gamin à l’entrée ; il m’a donné 200 euros et il m’a dit qu’il en voulait pour son argent. Qu’est-ce que je fais ?
– Il est sans doute victime d’une blague de copains plus âgés… Tu te souviens des crêpes qu’on a faites avant-hier. Il y en a encore quelques-unes au frigo. Réchauffe-les en vitesse, donne-les lui et rends-lui 195 euros. Il sera content et il partira. La dame s’exécute, amusée…
Revenu à la maison, Toto tombe sur un papa furieux. Il le cherche partout depuis une heure et il s’est aperçu du vol dans son portefeuille :
– Toto, où étais-tu ?
– J’étais dans la grande maison avec des tentures et des lampes de toutes les couleurs.
Le papa, très inquiet et craignant le pire pour l’innocence du fiston :
– Et qu’est-ce que tu as fait dans cette maison ?
– Papa, c’était fantastique ! Quel service ! J’ai donné 200 euros, on m’a rendu 195 euros. J’en ai eu 8, et il y en a 4 qui étaient tellement chaudes que j’ai du les finir sur le trottoir !

Avoir un mari (Très) riche ce n’est pas une mission facile !

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Là où cela devient drôle, c’est avec la réponse du banquier :

« J’ai lu votre courrier avec une grande attention, et après avoir longuement étudié votre demande, c’est avec grand soin que je me suis livré à une analyse financière de la situation.

Premièrement, je ne vous fais pas perdre de temps puisque moi-même je gagne plus de 500 000 dollars par an. Laissez moi résumer simplement les faits : . Vous mettez votre beauté physique et je mets l’argent. Malheuresement (pour vous), ceci est une bien mauvaise affaire.

Il est certain que votre beauté va s’étioler et va un jour disparaître, alors qu’en même temps, mes revenus et ma fortune continueront très probablement de croître. Ainsi, ‘en termes économiques’, vous êtes un passif qui subit une dépréciation et je suis un actif qui produit des dividendes. Vous subissez donc une dépréciation, mais comme celle-ci est progressive, votre valeur diminue de plus en plus vite !

Soyons plus précis: Vous avez aujourd’hui 25 ans, vous êtes belle et sans doute le resterez vous durant les 5 ou 10 années à venir. Mais chaque année un peu moins, et quand vous vous comparerez à une photo prise aujourd’hui, vous constaterez combien vous avez vieilli. Cela signifie que vous êtes aujourd’hui dans la ‘phase de croissance’, c’est donc le bon moment pour être vendue mais non pour être achetée.

En termes économiques, celui qui vous possède aujourd’hui à intérêt à vous avoir en « Trading position » (position de vente) et non dans « buy and hold » (acheter et conserver). Cest pourtant ce que vous offrez.

Par conséquent, toujours en termes économiques, le mariage (qui est un « buy and hold ») avec vous n’est pas une bonne affaire à moyen ou à long terme. En revanche, la location pourrait être, en langage commercial, une affaire raisonnable que nous pouvons discuter. Je pense que si vous fournissez la garantie « bien élevée, avec de la classe et merveilleusement belle », je pourrais très probablement être le locataire de cette « produit ». Cependant, je souhaite faire, ce qui est une pratique habituelle en affaire, un essai. C’est à dire un « test drive » avant de concrétiser l’opération.

Pour résumer : comme le fait de vous acheter est une mauvaise affaire pour cause de dévaluation croissante, je vous propose une location d’une durée pendant laquelle le matériel est dans un bon usage.

En attendant de vos nouvelles, je prends congé.

Cordialement,
Un millionnaire »

Le jeune millionnaire qui raconte son histoire !

image1AQW1Ça se passe à Las Vegas. Un gars a dépensé tout l’argent qu’il avait en une seule nuit, tant et si bien qu’il n’a même plus la moindre pièce de monnaie pour utiliser les toilettes (les portes utilisent un monnayeur).
Le voilà obligé d’emprunter une pièce à un autre joueur pour pouvoir satisfaire son envie pressante.
Par bonheur, lorsqu’il descend aux toilettes, une des portes est restée ouverte et le gars en profite pour économiser son dollar.
Une fois de retour dans la salle de jeux, il prend sa pièce et s’empresse d’aller la glisser dans la fente d’une machine à sous…
JACKPOT ! Alors il fonce à la table de Blackjack et mise la totalité de ses gains… Le voilà millionnaire en dollars !
Dans les jours qui suivent, l’histoire vient aux oreilles d’un journaliste qui passait par-là. Le gars fait un reportage sur ce gagnant incroyable, qui raconte bien volontiers comment, grâce au bon cœur d’un autre joueur du casino, il a pu devenir riche à millions…
Et le joueur ajoute même :
– Si un jour on retrouve mon bienfaiteur, je promets de lui faire don de la moitié de la fortune !
Quelques jours après la parution de l’article, le joueur reçoit la visite du gars qui lui avait donné la pièce et qui lui dit :
– Eh bien voilà, je suis le gars qui vous a passé un dollar quand vous vouliez aller aux toilettes du casino… Vous vous souvenez ?
Et le joueur lui répond :
– Oui je me souviens très bien. Mais je ne parlais pas de vous mais du gars qui avait laissé la porte des toilettes ouverte…

Il a voulu seulement avoir un poste dans cette entreprise, mais le directeur lui a donné autre chose plus précieux !

Un jeune homme sollicita un poste dans une grande entreprise. Après l’entretien d’embauche de sélection, le directeur adjoint l’envoya vers le directeur général pour une dernière entrevue. Le directeur a bien regardé son CV : il était tout simplement excellent (de grandes écoles, de beaux stages…). Aussi, le DG lui a demandé :

« As-tu reçu une bourse d’étude pendant ton cursus scolaire ? »
Le jeune diplômé lui a répondu tout simplement « non ».
« Est-ce ton père qui a payé tes études ? »
« Oui » répondit le jeune.
« Où travaille ton père ? »
« Mon père fait des travaux de forge. »
Le directeur a demandé au jeune de lui montrer ses mains. Le jeune lui a montré une paire de mains lisses et parfaites.
« As-tu jamais aidé ton père dans son travail, ne serait-ce qu’une seule fois ? »
« Mon père a toujours voulu que j’étudie davantage. En outre, il peut mieux faire ces tâches que moi.»
Le directeur a dit :
« J’ai une demande à te faire : quand tu iras à la maison aujourd’hui, observe et lave les mains de ton père puis reviens me voir demain matin. »
Ni une, ni deux, le jeune s’empresse de prendre congé pour aller vite répondre à la requête du DG.
Quand il rentra à la maison, il se mit à chercher son père et lui demanda la permission de laver ses mains.
Son père se sentit heureux de la subite attention de son fils et les lui présenta avec bienveillance. Après un temps d’arrêt, le jeune homme entreprit de laver doucement les mains paternelles. Pour la première fois, il se rendit compte de l’état des mains de son père : elles étaient ridées et avaient tant de cicatrices qu’il pouvait à peine toutes les compter. Certaines d’entre elles étaient encore à vif et quand il avait le malheur d’y toucher, son père tressaillait de douleur.

Pour le jeune homme, ce fut comme un seau d’eau glacée lancé en plein visage ! Il se rendit peu à peu compte du sacrifice de son père. Car chacune de ces cicatrices représentait le prix à payer pour SON éducation, SES activités de l’école et SON futur.

Après avoir fini de nettoyer les mains de son père, le jeune commença à mettre de l’ordre dans l’atelier. Cette nuit-là fut un magnifique moment ‘père et fils’ durant lequel ils parlèrent très longtemps.
Au matin suivant et comme prévu, le jeune est retourné voir le directeur.
Ce dernier s’est vite rendu compte des larmes dans les yeux du jeune homme. Aussi lui-a-t-il demandé : « Peux-tu me dire ce qui te fait pleurer et ce que tu as appris hier en rentrant chez toi ? »
Le jeune a répondu : « j’ai nettoyé les mains de mon père puis j’ai fini par ranger son atelier… mais ce n’est pas le plus important. Je sais maintenant reconnaître ce qui mérite d’être apprécié. Sans mon père, je ne serais pas celui que je suis aujourd’hui. En aidant mon père, je me suis rendu compte de la dureté de son labeur et de mon arrogante indifférence. Aujourd’hui, j’apprécie son sacrifice à sa juste valeur et le trésor qu’est l’aide familiale.
Le directeur a dit : « Voilà ce que je cherche chez mon personnel. Je veux engager des personnes pouvant apprécier l’effort fourni par les autres, des personnes qui ont conscience de la souffrance d’autrui, des personnes qui ne mettent pas l’argent comme seul objectif dans la vie… Tu es embauché ».

Un enfant trop protégé à qui les parents donnent tout ce qu’il veut, développe « une mentalité de droit » et ignore les sacrifices qu’il a fallu faire pour en arriver là ! Si vous vous reconnaissez dans ce type de pères protecteurs, pensez-vous agir pour le bien de vos enfants ou au contraire, les guider sur le mauvais chemin ?

Vous pouvez donner à vos enfants ce qu’ils souhaitent le plus au monde : une maison chaleureuse, un bon repas, une grande école, un téléphone portable dernier cri… Quand vous devez faire le ménage ou peindre une chambre, pensez tout simplement à les mettre à contribution. Après avoir mangé, qu’ils lavent et rangent la vaisselle entre frères et sœurs pour apprendre la vraie valeur de l’entraide et les qualités nécessaires pour mener une belle vie. Un jour, quand vous aurez les cheveux bien blancs, vous serez heureux de voir vos enfants épanouis, suivre votre exemple et apprendre à leurs propres enfants l’expérience de la difficulté et l’importance du travail en groupe.

Un éleveur de vaches va chez son banquier pour obtenir un prêt

image AQWUn éleveur de vaches va chez son banquier pour obtenir un prêt afin d’acheter un taureau. Quelques jours plus tard, le banquier rencontre l’éleveur dans la rue et lui demande :
– Alors, comment va notre taureau ?
L’éleveur répond :
– Ben, pas terrible ! Je l’ai mis dans le pré avec toutes les génisses à saillir, et il n’a rien voulu leur faire.
Le banquier lui répond :
– Vous feriez mieux d’appeler le vétérinaire.
Encore quelques jours plus tard, le banquier rencontre l’éleveur à nouveau :
– Et comment va notre taureau maintenant ?
L’éleveur répond :
– Impeccable. Il a sailli toutes mes génisses, ensuite il est passé au dessus de la barrière, et maintenant il s’occupe des vaches du voisin.
Le banquier :
– Hé hé ! Et qu’est-ce que le vétérinaire lui a donné ?
L’éleveur répond :
– Il lui a donné des comprimés.
Le banquier :
– Quelle sorte de comprimés ?
L’éleveur répond:
– Je ne sais pas, mais ils ont le goût de la fraise.

En plein centre de Manhattan, une BMW Rolls se gare devant une banque.

image rolls bmwEn plein centre de Manhattan, une BMW Rolls se gare devant une banque.
En descend un superbe blonde qui rentre dans l’établissement et demande un prêt de 2000 euros.
Le chargé d’affaire lui demande une garantie ainsi que la durée du prêt.
La blonde propose, comme garantie, la Rolls garée devant la banque et indique que le prêt sera remboursé à son retour de Paris dans quinze jours.
Sur ces entrefaits, la blonde s’en va, tandis que le chargé d’affaire et son directeur s’escaffe :
« Il faut vraiment être un blonde pour offrir une Rolls comme garantie d’un prêt de 2000 euros ».
La semaine passe, la blonde repasse à la banque et demande à rembourser le prêt pour récupérer sa Rolls.
Le banquier s’exécute contre 2000 euros et ajoute 30 euros d’intérêts et de frais.
Pris d’un certain remord le banquier demande :
« Vous ne semblez pas avoir besoin de 2000 euros, alors pourquoi laisser une voiture de ce prix pour une somme dont vous n’avez apparemment pas besoin ? »
et la blonde de répondre :
« Parce que 30 euros est le meilleur prix que j’ai pu trouver pour garer en toute confiance ma Rolls pendant 15 jours en plein Manhattan ! »

Cet homme a fait un très grand poursuit pour devenir (moine)..

IS1Un homme conduisait et tomba en panne près d’un monastère. Il alla au monastère, frappa à la porte et dit « ma voiture est tombée en panne, puis-je rester pour la nuit ? »
Les moines l’acceptèrent gracieusement, le nourrirent, réparant même sa voiture. Alors que l’homme tombait de sommeil, il entendit un bruit étrange.
Le matin suivant, il demanda aux moines quel était ce bruit mais ils lui répondirent « nous ne pouvons pas vous le dire. Vous n’êtes pas un moine. »
L’homme fut déçu mais les remercia tout de même et repris sa route.
Quelques années plus tard, le même homme retomba en panne devant le même monastère.
Les moines l’accepèrent de nouveau, le nourrirent et reparèrent la voiture. Cette nuit, il entendit le même bruit étrange qu’il y a quelques années.
Le matin suivant, il demanda ce que c’était mais ils lui répondirent « nous ne pouvons pas vous le dire. Vous n’êtes pas un moine. »
L’homme dit : « s’il vous plaît je meurs d’envie de savoir. Si le seul moyen de savoir est de devenir moine, alors comment devenir moine ? »
Le moine répondit « Vous devez parcourir le monde et nous dire exactement combien de brins d’herbe et de grains de sable il y a. Quand vous trouverez, vous deviendrez moine. »
L’homme se mit à la tâche. Quarante-cinq ans plus tard, il revint et frappa à la porte du monastère. Il dit « j’ai parcouru le monde et trouvé ce que vous me demandiez. Il y a 145,236,284,232 brins d’herbe et 231,281,219,999,129,382 grains de sable sur Terre. »
Le moine lui répond « Félicitations, vous êtes maintenant un moine. Nous allons vous montrer le chemin vers le fameux bruit. »
Les moines l’emmenèrent devant une porte en bois et le premier moine lui dit « le son est juste derrière cette porte. »
L’homme tourne la poignée mais la porte est verrouillée. Il dit « Très drôle. Est-ce que je peux avoir la clé ? »
Les moines lui donnèrent la clé et il ouvrit la porte.
Derrière la porte de bois se trouvait une porte en pierre.
L’homme demanda la clé de la porte en pierre.
Les moines lui donnèrent la clé, il ouvrit la porte, pour trouver une porte en rubis.
Il demanda une autre clé aux moines, qui lui apportènt.
Derrière cette porte se trouvait une porte en saphir.
Il continua ainsi de suite avec des portes en émeraude, argent, topaze et améthyste.
Finalement les moines lui dirent « Voilà la clé de la dernière porte. »
L’homme était arrivé au bout de ce chemin sans fin.
Il déverrouilla la porte, tourna la poignée et fut émerveillé de voir la source de ce bruit étrange.
.
.
Mais je ne peux pas vous le dire, vous n’êtes pas moine.

T0T0 Fait Toujours L’exception avec ses réponses !

image1AQ
La maîtresse demande :
– Paul que veux tu faire plus tard ?
– Docteur madame
– Très bien Paul et toi Rémi ?
– Eboueur madame !
– Ah bon ? Quelle drôle d’idée ! et toi Toto ? que veux tu faire ?
– Etre le plus poilu du monde !
– Ah bon et pourquoi ça ?
– Si vous saviez ce que ma sœur se fait comme argent avec un pti triangle de poil !