Serge Aurier a rendez-vous lundi avec la direction du PSG concernant son avenir sportif

Serge Aurier a rendez-vous lundi avec la direction du PSG concernant son avenir sportif, suite à ses dérapages sur le réseau social périscope. Une journée cruciale pour l’international Ivoirien.

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On devrait en savoir plus sur l’avenir de Serge Aurier dès lundi. En effet, le latéral droit va être entendu par les dirigeants du PSG concernant ses dérapages la semaine dernière sur l’application Periscope. Il avait notamment insulté son entraîneur Laurent Blanc de « fiotte », ainsi que certains de ses coéquipiers. La vidéo avait fait le tour du web et le club parisien avait alors décidé de l’écarter du groupe professionnel jusqu’à nouvel ordre.

Cette rencontre devrait également nous éclairer sur la situation sportive de Serge Aurier. Selon le quotidien Le Parisien l’international Ivoirien risque « une grosse amende, une mise à l’écart jusqu’à la fin de la saison, voire un licenciement

Cependant, le sort du défenseur Parisien Serge Aurier aurait déjà été acté par la direction du club : «À propos de Serge Aurier, on a pris notre décision » avait annoncé le président du Paris-Saint-Germain Nasser El-Khelaïfi, après la victoire du club de la capitale face à Chelsea en C1. L’avenir de l’ancien toulousain semble s’inscrire très loin de Paris. En attendant, Serge Aurier est actuellement à Genève où réside son agent Stéphane Courbis.

Les deux hommes ont été aperçus dans un hôtel de luxe situé près du lac Léman. Selon Le Parisien, jeudi, Serge Aurier va s’entraîner physiquement en Suisse avant de regagner Paris pour son entretien avec la direction du club.

Source: buzzdefou

« Toi, j’vais te ba!ser », hier soir, j’ai pris le métro, comme chaque jour..

qui n’allaient nul part mais qui étaient là, tout de même.

J’étais là, occupé à observer mes compagnons de voyage de quelques minutes quand je les ai vus, à l’autre bout, contre la vitre. De loin, on aurait pu penser que c’était un jeune couple en train de se disputer. L’homme se tenait à quelques centimètres de la jeune femme, la main sur son poignet et il semblait être parti dans un long monologue pour la convaincre de rester. J’essayais d’imaginer ce qu’il avait bien pu faire pour qu’elle l’ignore à ce point. Sûrement une histoire de tromperie. C’est ce que j’ai cru, au début.

Mais quelque chose dans le regard de l’homme m’a fait changer d’avis. Alors, je me suis approché de quelques mètres, tout doucement. La jeune femme avait le visage tourné vers la vitre, elle semblait tétanisée. Je me suis approché encore, pour écouter ce que l’homme lui disait, collé à elle.

« Toi j’vais te ba!ser tu sais oh oui j’vais te ba!ser salement et tu vas aimer ça hein bien sûr que tu vas aimer ça mmh allez t’écoutes ce que j’dis petite p*te réponds petite sal0pe j’sais que tu en as envie je l’ai vu dans ton regard de petite chienne en chaleur fallait pas porter une jupe si t’es pas intéressée ouais toi j’vais te ba!ser… »

La jeune femme ne disait rien, le regard fixé sur son reflet, sans sourire, pétrifiée.

Autour d’eux, les gens rentraient du boulot, partaient à l’apéro, allaient au restaurant, au cinéma, et il y avait ceux qui n’allaient nul part mais qui étaient là, tout de même. Et personne ne semblait remarquer ce qu’il se passait sous leurs yeux, chacun dans leurs bulles, trop occupés à lire, (« Toi j’vais te ba!ser « ) à écouter de la musique ou à détourner le regard, prêts à changer de métro dès que les portes s’ouvriraient. L’homme se collait de plus en plus, sa main sur la cuisse de la jeune femme, (« Toi j’vais te ba!ser »), je pouvais voir ses doigts ramper sur sa peau, essayer de s’infiltrer remontant toujours plus haut sous la jupe et la jeune femme ne disait toujours rien, (« Toi j’vais te ba!ser »), le rouge au front, aussi immobile qu’une statue de cire dont la volonté venait de fondre.

Que faire, détourner le regard, (réagis) se persuader qu’ils sont en couple, (réagis), que ce ne sont pas mes histoires, partir, prendre le métro suivant, (réagis) après tout, je ne suis pas à quelques minutes près, (oui mais la jeune femme ne semble pas bien aller du tout) je vais descendre, je ne vais pas m’en mêler, (RÉAGIS PUTAIN). C’est fou comme la peur nous paralyse dans ces moments-là, vraiment.

Mais je me suis assis à côté d’eux et tout en croisant le regard de la jeune femme, je lui ai dit : « Hey Camille ! Ça faisait un bail que je ne t’avais pas vue ! Comment ça va, ma cousine ? ». Puis me tournant vers l’homme, avec un grand sourire : « Je ne vous dérange pas, j’espère ? ». Ces quelques mots ont suffit à la jeune femme pour reprendre vie, et comprenant ce que je tentais de faire m’a suivi dans ma brève comédie familiale. L’homme a immédiatement retiré sa main, comme si les fils de sa marionnette venaient de se couper, comme s’il venait de se brûler au contact de la peau de la jeune femme. Sans un regard, il s’est levé, et il est sorti de la rame sans se retourner.

Après m’être assuré que la jeune femme allait bien également, je suis parti aussi.

Notes de l’auteur:

Je n’ai pas écrit ce texte dans le but de me glorifier pour un acte citoyen qui devrait être quelque chose de banal. J’ai écrit ce texte pour montrer qu’avec quelques mots, on peut renverser une situation, on peut intervenir et ne pas regarder une agression se dérouler sous nos yeux sans rien faire. J’ai écrit ce texte pour donner encore un témoignage de plus sur le harcèlement de rue, dans les transports en commun, pour montrer que cette oppression sur les femmes n’est pas un mythe.

Ah et pour parer à toute remarque bien conne, non je n’ai pas pris son numéro de téléphone, non je ne lui ai même pas demandé comment elle s’appelait. L’important était qu’elle aille bien, point.

La diatribe d’un homme sur Facebook à propos de son ex-femme est très touchante.

Pour une fois dans l’histoire d’internet, la diatribe d’un homme sur Facebook à propos de son ex-femme est très touchante.

puissent le lui donner. Je les ai aussi aidés à préparer son petit-déjeuner.

Comme d’habitude, quelqu’un m’a demandé pourquoi diable je continuais à faire des choses pour elle tout le temps. Ça devient lassant, je vais donc vous expliquer tout ça.

J’élève deux jeunes hommes. L’exemple que je leur donne en traitant leur mère impactera considérablement la manière dont ils verront et traiteront les femmes et affectera leur perception des relations.

Je pense que c’est d’autant plus vrai dans mon cas vu qu’on est divorcés. Donc si vous ne créez pas un bon comportement relationnel pour vous, il est grand temps de vous bouger.
Prenez de la hauteur et soyez un exemple. Ce n’est pas juste pour vous.

Élevez des hommes biens. Élevez des femmes fortes. De grâce. Le monde en a besoin, aujourd’hui plus que jamais.

Néanmoins, Gadbois à déclaré que ça n’a pas toujours été facile.

La première partie de notre divorce ne s’est pas passée aussi bien qu’on le voudrait. Il nous a fallu passer par des hauts et des bas et apprendre de nos erreurs au fil du temps.

Il y avait des choses à surmonter des deux côtés pour mettre de côté notre colère et notre ressentiment pour le bien des enfants. Ce n’est pas facile, mais c’est faisable !

On a travaillé dur au fil du temps pour créer des barrières et trouver des moyens de gérer nos interactions pour que nos propres problèmes soient minimisés ou laissés à la maison pour le bien des enfants.

C’est un processus perpétuel mais on voit une grande différence en termes de bonheur, de confiance et de sécurité chez les enfants depuis qu’on a commencé à fonctionner ainsi.

Bref; C’est le rôle des parents. ?