Dans un premier temps, on a l’AVC ischémique qui se produit lorsque la circulation sanguine vers le cerveau est bloquée par un caillot sanguin ou une plaque. Celle-ci est présente dans plus de 85 % des cas de décès.

Après, on a l’AVC hémorragique qui se manifeste lorsqu’un anévrisme cérébral ou aussi un vaisseau sanguin dans notre cerveau éclate.

Parmi les décès les plus recensés de nos jours, 40 % des morts de l’AVC sont atteintes de cette maladie.

Finalement, nous avons l’accident ischémique transitoire ou AIT. On le nomme aussi miniAVC et s’intensifie lorsque le sang vers le cerveau est temporairement interrompu par un caillot ou une bulle d’air. Elle est très apaisante et peut se dessouder dans les prochaines 24 heures.   

Elle peut aussi être un signe d’AVC très proche pour le patient.

Pour reconnaitre facilement une personne atteinte d’AVC, les symptômes sont la faiblesse du bras, les troubles de l’élocution et le visage qui se déforme.

Si les signes se succèdent, le meilleur conseil et d’appeler tout de suite une ambulance dans les plus brefs délais afin de sauver une vie.

Pour résumer les manifestations de l’accident vasculaire cérébral, voici une petite illustration de ce qu’il faut faire que l’on appelle aussi dans l’anglais : « FAST ».

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